Le financement des opérations du commerce international par les banques Algériennes Cas de : la BDL de TIZI OUZOU

Abstract

Le commerce extérieur ne doit pas être arrêté uniquement sur les deux contractants acheteurs vendeur, en effet l’institution bancaire est l’intermédiaire principal de toute la chaine d’exportation, qu’il s’agisse du préfinancement, financement ou du paiement de l’opération. Il véritable que bon nombre de techniques du commerce extérieur sécurisent les transactions à travers la garantie de l’importateur et de l’exportateur. La banque joue un important rôle en matière de financement des opérations du commerce international. Elle rend les échanges commerciaux plus souples et rapides. Elle participe en tant qu’intermédiaire financier à travers les crédits accordés aux entreprises importatrices et exportatrices, aussi elle s’engage directement dans certaines opérations mais sa responsabilité dans ce contexte n’est pas diminue des risques, dans ce cadre que des garanties ont été mises en place pour le but de se couvrir contre les risques. L’Algérie comme tout pays n’est pas isolé sur le reste du monde, son ouverture sur l’économie de marché permet des importations et exportations des biens et services aux entreprises. Comme mesure prise dans le cadre de commerce international le gouvernement avait imposé le crédit documentaire comme seul moyen de paiement des importations, et la remise documentaire comme seul moyen de règlement des exportations des biens et services, édité dans la loi de finance complémentaire. Cette décision à eu certainement un effet important sur les opérations d’importations et des exportations et qui se représente sur le marché nationale.