Robustesse de méthodes de détection d’endommagements de structures mécaniques
Abstract
Dans ce mémoire, nous avons testé trois méthodes de détection d’endommagement dans
trois cas tests de simulations numériques : une poutre, un treillis et un portique tridimensionnel.
Les méthodes de détection et localisation d’endommagement considère sont : la méthode basée
sur l’énergie de déformation modale, la méthode basée sur les FRF et la méthode de courbure modale.
En pratique, les vecteurs et les valeurs propres ne sont pas totalement observés. En effet,
comme les temps d’expérimentation sont réduits, le nombre de ddl observés est généralement
plus petit que celui du modèle analytique. Pour cela, nous avons utilisé la méthode de
reconstitution des ddl non observés et un modèle du bruit expérimental.
Notre étude consiste à vérifier la robustesse des trois méthodes en introduisant une réduction
de la rigidité des structures étudiées consistant en une réduction de section ou de module de
Young de quelques éléments finis de la structure.
Le travail consiste à déterminer laquelle des méthodes est plus robuste et plus sensible aux
endommagements à leur stade le plus précoce, il s’avère que les auteurs ont valider ces
méthodes en utilisant des taux d’endommagements remarquable voir 50%. Mais les résultats
obtenus avec des taux d’endommagement faibles sont manquant. Il ressort aussi que ces
méthodes ne sont pas performantes car les endommagements doivent être détecter et localiser
à leur état précoce et la mesure de comportement n’est conduite que sur un nombre limites de
ddls et la reconstitution est donc un passage obligé.
Nous devons alors penser à améliorer ces méthodes pour les rendre plus performantes. Nous pouvons également réfléchir à optimiser la discrétisation en EF.