Titre : | Estimation et identification des paramètres électriques d’un moteur asynchrone à cage d’écureuil | Type de document : | theses et memoires | Auteurs : | Rosa Hassad ; Boudali Tarik ; Rabah Khaldi, Directeur de thèse | Editeur : | Tizi.Ouzou : U.M.M.T.O | Année de publication : | 2021 | Importance : | 90 p. | Présentation : | ill. | Format : | 30 cm | Note générale : | Bibliogr. | Langues : | Français | Mots-clés : | Moteur asynchrone à cage d’écureuil Méthode semi-empirique Méthode analytique Méthode du schéma équivalent | Résumé : | Dans le cadre de ce travail de mémoire, on s’est donné pour objectif fondamental :
l’identification des paramètres d’un moteur asynchrone triphasé à cage d’écureuil de puissance 2.2 KW, alimenté par une source sinusoïdale. On a utilisé pour cela, 3 méthodes différentes et
une méthode itérative.
Dans le premier chapitre on a présenté la machine asynchrone en commençant par une description en citant les différents types de MAS existantes. Par la suite, on a donné les
équations de modélisation, en considérant quelques hypothèses simplificatrices, permettant ainsi d’établi un modèle mathématique dont la complexité a été réduite grâce à la transformée
de Park.
Dans le deuxième chapitre on a présentés les différentes méthodes de de calcul des paramètres :
? La méthode semi-empirique : ou méthode classique, qui utilise des mesures prises expérimentalement lors des essais (à vide, à rotor bloqué…) pour calculer les paramètres
définis par des équations analytiques.
? Méthode analytique : méthode qui utilise les équations de modélisation et les gradeurs sinusoïdale d’alimentation, pour calculer les paramètres de la machine, en fonction
des grandeurs d’alimentation et donc du temps.
? Méthode du schéma équivalent : méthode qui transforme le moteur en circuit électrique simple. Il en existe plusieurs schémas qui dépendent du régime de fonctionnement,
des pertes considérées et de l’axe choisi pour faire le calcul.
? Une méthode itérative : qui permet d’affiner les résultats de la méthode classique et de rapprocher ses valeurs trouvées des valeurs réelles de la MAS.
Dans le troisième chapitre on a montré les résultats des mesures expérimentales effectuées ainsi que celle des autres méthodes. On a aussi procédé au calcul des paramètres du moteur.
Au quatrième chapitre, on a fait la comparaison des résultats en considérant les résultats trouvés par la méthode classique (résultats classiques) comme référence et on conclut que :
? La méthode du circuit équivalent donne des résultats globalement supérieurs,
avec un faible taux de différence.
? La méthode analytique donne des résultats plus élevés et des taux de différence importants. Il est cependant important de prendre en compte la dépendance de la méthode par
rapport au temps et la nature variable des paramètres. Il est donc possible d’arriver aux mêmes résultats que les résultats classiques en ajustant l’intervalle du temps.
? La méthode itérative donne des résultats supérieurs aux résultats classiques, un taux de différence faible pour Ls, Rf, Lm et Kf et un taux de différence élevé pour les autres
paramètres. On peut donc conclure par-là que la méthode utilisée pour la détermination du moment d’inertie global Jg, manque de précision.
L’étude de performances montre que les courbes obtenues en après remplacement des paramètres dans les équations des grandeurs (ias, Pabs, Cem…), correspondent aux courbes
modèles de la MAS. Ce qui valide les résultats des méthodes : classique, itérative et celle du circuit équivalent.
En ce qui concerne la méthode analytique, on a tracé les courbes des tensions statoriques en fonction des paramètres calculés : 2 de ses phases présentent des pics de tension importants
(˜ 1000V), ce qui correspond à un défaut électrique. Les graphiques de la résistance et inductance du rotor (figure 25) peuvent confirmer cette hypothèse, puisque par moment, les
deux paramètres atteignent des valeurs largement supérieures à la valeur normalement admissible.
La méthode analytique a aussi permis de calculer le moment d’inertie de la machine (0.0041 Kg.m2), c’est une valeur admissible puisqu’en l’absence de la génératrice, la masse
tournante diminue de même que la résistance au mouvement rotatoire (moment d’inertie) qui en dépend. Ceci laisse à supposer que le moment d’inertie de la génératrice est donc de
Jc=0.0045 Kg.m2.
On conclut que la méthode analytique est plus adaptée pour la modélisation et la détection des défauts électriques, comme ça a été le cas de la machine étudiée. Elle offre tout de même
la possibilité de visualiser et de représenter la variation des paramètres ce qui la rend intéressante pour une étude approfondie et la détermination des paramètres réels de la machine | En ligne : | D:\CD THESES 2021\MAST ETH\HASSAD ROSA; BOUDALI TARIK.PDF | Format de la ressource électronique : | PDF | Permalink : | ./index.php?lvl=notice_display&id=36557 |
Estimation et identification des paramètres électriques d’un moteur asynchrone à cage d’écureuil [theses et memoires] / Rosa Hassad ; Boudali Tarik ; Rabah Khaldi, Directeur de thèse . - Tizi.Ouzou (Tizi.Ouzou) : U.M.M.T.O, 2021 . - 90 p. : ill. ; 30 cm. Bibliogr. Langues : Français Mots-clés : | Moteur asynchrone à cage d’écureuil Méthode semi-empirique Méthode analytique Méthode du schéma équivalent | Résumé : | Dans le cadre de ce travail de mémoire, on s’est donné pour objectif fondamental :
l’identification des paramètres d’un moteur asynchrone triphasé à cage d’écureuil de puissance 2.2 KW, alimenté par une source sinusoïdale. On a utilisé pour cela, 3 méthodes différentes et
une méthode itérative.
Dans le premier chapitre on a présenté la machine asynchrone en commençant par une description en citant les différents types de MAS existantes. Par la suite, on a donné les
équations de modélisation, en considérant quelques hypothèses simplificatrices, permettant ainsi d’établi un modèle mathématique dont la complexité a été réduite grâce à la transformée
de Park.
Dans le deuxième chapitre on a présentés les différentes méthodes de de calcul des paramètres :
? La méthode semi-empirique : ou méthode classique, qui utilise des mesures prises expérimentalement lors des essais (à vide, à rotor bloqué…) pour calculer les paramètres
définis par des équations analytiques.
? Méthode analytique : méthode qui utilise les équations de modélisation et les gradeurs sinusoïdale d’alimentation, pour calculer les paramètres de la machine, en fonction
des grandeurs d’alimentation et donc du temps.
? Méthode du schéma équivalent : méthode qui transforme le moteur en circuit électrique simple. Il en existe plusieurs schémas qui dépendent du régime de fonctionnement,
des pertes considérées et de l’axe choisi pour faire le calcul.
? Une méthode itérative : qui permet d’affiner les résultats de la méthode classique et de rapprocher ses valeurs trouvées des valeurs réelles de la MAS.
Dans le troisième chapitre on a montré les résultats des mesures expérimentales effectuées ainsi que celle des autres méthodes. On a aussi procédé au calcul des paramètres du moteur.
Au quatrième chapitre, on a fait la comparaison des résultats en considérant les résultats trouvés par la méthode classique (résultats classiques) comme référence et on conclut que :
? La méthode du circuit équivalent donne des résultats globalement supérieurs,
avec un faible taux de différence.
? La méthode analytique donne des résultats plus élevés et des taux de différence importants. Il est cependant important de prendre en compte la dépendance de la méthode par
rapport au temps et la nature variable des paramètres. Il est donc possible d’arriver aux mêmes résultats que les résultats classiques en ajustant l’intervalle du temps.
? La méthode itérative donne des résultats supérieurs aux résultats classiques, un taux de différence faible pour Ls, Rf, Lm et Kf et un taux de différence élevé pour les autres
paramètres. On peut donc conclure par-là que la méthode utilisée pour la détermination du moment d’inertie global Jg, manque de précision.
L’étude de performances montre que les courbes obtenues en après remplacement des paramètres dans les équations des grandeurs (ias, Pabs, Cem…), correspondent aux courbes
modèles de la MAS. Ce qui valide les résultats des méthodes : classique, itérative et celle du circuit équivalent.
En ce qui concerne la méthode analytique, on a tracé les courbes des tensions statoriques en fonction des paramètres calculés : 2 de ses phases présentent des pics de tension importants
(˜ 1000V), ce qui correspond à un défaut électrique. Les graphiques de la résistance et inductance du rotor (figure 25) peuvent confirmer cette hypothèse, puisque par moment, les
deux paramètres atteignent des valeurs largement supérieures à la valeur normalement admissible.
La méthode analytique a aussi permis de calculer le moment d’inertie de la machine (0.0041 Kg.m2), c’est une valeur admissible puisqu’en l’absence de la génératrice, la masse
tournante diminue de même que la résistance au mouvement rotatoire (moment d’inertie) qui en dépend. Ceci laisse à supposer que le moment d’inertie de la génératrice est donc de
Jc=0.0045 Kg.m2.
On conclut que la méthode analytique est plus adaptée pour la modélisation et la détection des défauts électriques, comme ça a été le cas de la machine étudiée. Elle offre tout de même
la possibilité de visualiser et de représenter la variation des paramètres ce qui la rend intéressante pour une étude approfondie et la détermination des paramètres réels de la machine | En ligne : | D:\CD THESES 2021\MAST ETH\HASSAD ROSA; BOUDALI TARIK.PDF | Format de la ressource électronique : | PDF | Permalink : | ./index.php?lvl=notice_display&id=36557 |
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