Ecole des beaux-arts d'Azazga

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Date

2018-06-20

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Université Mouloud Mammeri

Abstract

Comme vous savais tous, notre pays est marqué par la période historique coloniale, en effet un patrimoine architectural et urbain structure nettement les centres urbains de nos villes Malheureusement ce patrimoine se trouve actuellement dégrader et marginalisé A l’image de l’ex église et l’ex-daïra d’Azazga qui méritent une reconnaissance en tant que patrimoine aujourd’hui leur état nous interpelle de sauver de l’oubli ces lieux de mémoire Pour cela j'ai voulu abordé un projet de requalification urbaine en mettant en avant la dimension patrimoniale, Alors une principale question émerge : Comment une requalification urbaine peux participer a la mise en valeur du patrimoine coloniale d’Azazga à savoir l’ex-église et l’ex-daïra ? Et bien sure dans l'objectif de la mise en valeur du patrimoine d'azazga en le réinsérant dans la dynamique urbain avec une réhabilitation réussite et une harmonie entre ancien et nouveaux Mais avant, faut comprendre le sens du patrimoine qui tous héritage matériel ou immatérielle et même naturel hériter d’un individu ou d’un groupe de ses ancêtre Car aujourd’hui le patrimoine est le thème qui fait couler beaucoup d’encre accoté de l’écologie et technologie Surtouts avec la mondialisation l’homme cherche ses racines Donc le patrimoine est non seulement une base de construction de l’identité mais un fils conducteur du développement qui donne à la nation une confiance et la capacité de prendre en main son propre destin Et qui dit patrimoine dit forcement patrimonialisation qui le fait de donner un caractère patrimonial a une production hérité juge digne d’être transmise à la génération futur par a apport a ses valeurs historique, histhetique o culturel. C'est bien de le reconnaitre la valeur du patrimoine mais comment le protéger d’éventuelle dégradation c’est la qu’on intervient sur cite par des opérations varier comme : La restructuration : action sur les voie qui incluse destruction partielle des ilots et une modification des caractères des cartiers en induisant de nouvelles activité et la désinfection d’ancien bâtiment en vue d’autre utilisation La réhabilitation : opération qui vise a amélioré le bâtiment dévalorisé en actualisant la façon de les utilisé et les adapter a la vie moderne sans pour autant changer de leur usage d’origine La reconversion : comme son nom l’indique c de donner un bâtiment un nouvelle usage par nécessité ou par volenter de l’intégrer dans la vie quotidienne. Aussi La mise en valeur du patrimoine requiert non seulement une prise en conscience de l'importance du patrimoine et outil d'intervention mais aussi la reconnaissance de la valeur du contexte ou ils se situent qui est dans notre cas la ville d'azazga Le choix la ville d’azazga s’explique par la présence d’un centre historique typiquement colonial. Doter d’un patrimoine très riche incarné par des monuments tels que l’ex-église et l’ex-daïra. Une lecture globale de la croissance urbaine de la ville est nécessaire afin d’identifier les caractéristiques identitaires du quartier d’étude et les interventions envisageable sur le patrimoine existant. Azazga est située dans la partie Est de la willaya de Tizi-Ouzou, et de 140 KM de la capitale. : Azazga est une ville à la fois chef-lieu de commune et de daïra, Azazga est accessible par deux routes nationales RN12 qui relie de Tizi ouzou et Bejaïa et RN 71qui relie la ville d’Azazga et Ain el hammam au sud, une auto route à la périphérie de la ville qui vient de Tizi ouzou à l’ouest vers Bejaia à l’est passant par l’hôpital Azazga est confrontée à un de terrain, (plus de 47% du tissu urbain est classé défavorable à la construction) entrainant la destruction des routes et l’effondrement de certain nombre de construction cela et due a la déforestation et la fonte progressive des neige Le site en question c’est le noyau historique d’azazga correspond au cartier administratif colonial qui présente un intérêt patrimoniale par son aspect urbain et architectural En effet un patrimoine important datant de l’époque colonial présenter par: L’ex-Eglise d’Azazga : Un héritage coloniale du XIXe siècle, toujours en bon état sauver des acte de vandalisme qu’ont connu de nombreux édifices juste après l’indépendance, actuellement même si utilisé comme espace d’exposition et de conférence, ce lieux ne reçois pas boucouq d’activité ne répond pas aux pratiques habituelles des citoyens cet espace est dévouer à l’abondant. L’ex-daïra d’Azazga : Cette édifice de style néo classique étais le siège de la daïra coloniale, Après avoir transférer le siège de la daïra vers un autre emplacement (vers la partie supérieure du site), les bâtiments qui la constituent sont transformé en espaces d’archives tandis que le bâtiment central doté d’un langage architectural considérable est toujours occupé par le chef de daïra comme sa propre résidence. Apres analyse du site j’ai constaté la marginilisation des deux patrimoines existant sur notre site à savoir l’église et l’ex-daïra Cela est due La sensibilité de période coloniale, incarnée dans la mémoire du peuple algérien qui rappelé les souffrances de la guerre de libération à causer une réticence envers l’héritage coloniale, cela encourage la violenter de ruptures, ce que nous mènent a se demander Comment sensibiliser l’opinion publique sur l’importance du patrimoine ? L'idée c de ramener l’art au centre de la ville par la réhabilitation de l'église par une extension qui accueillera une école d'art, pour promouvoir l'art et Faire associer le patrimoine a l’art et non pas a la colonisation Ca veut dire utilisé l'art comme moyenne pour valorise le patrimoine prcq l'art comme le patrimoine et la pour apporter le témoignage du passer, produire le beau, nous voyons les choses belle que l'osque l’artiste nous apprend à le faire et enfin nous aide exprimer un moyen de transmettre ce que l'on ressent, c'est l'expression matérielle d'une pensée créative Donc notre opération commence par Une réhabilitation urbaine qui consiste a une démolition des bâtiments délabrés en mauvaise état Une restructuration des voies en essayant au maximum de suivre le tassé en damier de la ville en dégagent des perspective vert les deux patrimoines et en prolongeant les axe mécanique et piétonne Après avoir dégagé l’assiette du projet architectural et libéré les abords des deux édifices à sauvegarder, la genèse du projet se résume comme suit : 1. Créer un recul de 3 m par rapport à la rue dans le but d’aérer la façade. 2. Tirer des principes du contexte pour lier l’église à l’urbain et dégager le maximum de perspectives envers elle : 3 Tracer un axe de conception à partir de la perspective venant de l’axe 1er Novembre afin de créer une articulation entre le Square et le quartier. 4 Tracer un deuxième axe de perspective vers l’église depuis la rue supérieure du quartier. 5 Un autre depuis une ruelle en bat de notre site 6. Tracé une trame géométrique a en partant du module de base qui est l’ex-daïra, l’église jouera un rôle de centralité a partir de laquelle se projeté un axe symétrie. 7. En haut de la route que on projeter en rouge, se développera l’école d’art, elle porter les deux édifices et devenir comme une sorte de liaison qui relira les deux patrimoines 8. l’atinté oronge cueillera la cité de l’école d’art d’une capacité de 500 étudiants 9. Les atinté bleu seront des espaces publics surement des commerces pour la ville 10 Les lignes jaune présente des axes piétons tirés des principes du contexte 11. Les espace vert sont penser de sorte de dégager une perspective vert le squat et de marqué l’angle Notre projet intègre une école d’art (réhabilitation et extension de l’église), et un site (pour l’école d’art) dont on a développé que les grandes lignes. Tout en respectant le gabarit des unités avoisinantes, le projet se développe en 3 niveaux, il est organisé en quatre, amphi, entité exposition, entité logistique et entité pédagogique cette dernière et clairement réparties en quatre volume distincts reliés par un couloire. L'ex daïra qui maintiendra sa fonction actuelle de salle d'archive Cette équipement va assurer une l’hébergement des quelque 600 élèves de l’école qui intègre des chambre et les espace comain, projet qu'on a développé que les grandes lignes Et notamment des commerces et des espaces de consommation divers pour la ville

Description

50 f. : ill. ; 30 cm. (+CD-Rom)

Keywords

Beaux-arts : Ecole, Requalification urbaine : Azazga

Citation

Architecture ville et patrimoine